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gloire soit rendu au seigneur
Par Anonyme, le 07.10.2025
effectivement, on ne se moque pas de dieu... et ces personnes l'ont appris à leur dépend.
ceci dit, certains
Par Anonyme, le 21.05.2023
nul ne comparable à lui il a accepté de donner sa vie en fin que nous puissions dominer l'ennemi qui est le di
Par Anonyme, le 10.08.2021
le nom de jésus christ est le plus grand nom, le plus puissant et rien n'es comparé à celà
Par Anonyme, le 13.07.2021
je christ est roi et il règne dans les cieux et sur la terre au siècle des siècles ... amen !!!
Par Anonyme, le 09.04.2020
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Date de création : 26.10.2009
Dernière mise à jour :
26.11.2018
205 articles
Et lorsque tu comprends cet amour,
Tu es comblée pour toujours,
Tu ne crains plus alors le regard des autres,
Car l'amour de Dieu en toi,
Te fait aller au-delà,
De ce que l'on dit ou que l'on pense de toi.
Tu te sens fort comme l'aigle,
Et tu peux voler dans les airs,
Libre et confiant(e) d'être aimé(e) du Père.
Il vient un temps
Où le temps revient
De temps en temps
Nous rendre aux siens
Pendant longtemps...
Il vient un temps
Où l’ermite, vite, descend
De sa colline vide
Avec la mine avide
D’un enfant impatient...
Il vient un temps
Où les vents de midi,
Les chants de pie
N’ont rien de grand.
Où tout sur son île
Devient inutile.
Où cent ans devient
Un petit instant.
Où le petit rien
Devient l’important.
Un temps
Où l’ermite quitte
Sa solitude
Pour se tourner vite
Vers l’Est ou le Sud.
Il vient un temps
Abandonnant l’exil,
Il va vers la ville
Pour tenir une main.
Pas vrai ?
Chritian Ben BOULBA
Que savez-vous
De la souffrance
Vous qui n’avez jamais vu
Un regard bleu devenir gris ?
Que savez-vous
De la confiance
Vous qui n’avez jamais su
Satisfaire la jalousie ?
Que savez-vous
De la chance
Vous qui n’avez jamais connu
Un beau visage endormi ?
Que savez-vous
De la violence
Vous qui n’avez jamais fondu
Sous la passion infinie ?
Que savez-vous
De la malchance
Vous qui n’avez jamais perdu
Le seul amour de votre vie ?
Ben BOULBA Christian
Je suis
Un bonheur évanoui,
Un voleur qui s’enfuit
Quelques heures sans ennuis.
Je suis
Une violente pluie,
Une ombre de la nuit
Une caresse qui détruit.
Je mange le fruit
Et puis,
Venant minuit,
Je m’envole sans bruit.
J’ai le devoir d’entendre,
Le souci d’apprendre,
Le fardeau de comprendre,
Et l’ambition d’entreprendre.
Ben BOULBA Christian = BBC
Dans les secondes de mes errances
Je ne suis qu’une impasse.
Comme une musique sans bémol
Mes larmes arrosent le sol
Et Jésus fait croître l'arbre
Qui produit les fruits de mes pleures.
Je t’aimerai toujours
Tu es pour moi le grand amour.
Je t’aimerai même sans limite.
Pour moi Tu n’es pas un mythe
Encore moins une fiction.
Je t’aime avec passion
Car tu as sauvé mon âme.
Je sais que tu m’aime
Et devant ta face
Je ne suis plus une impasse.
Tu es la lumière sur mon sentier
Tu dirige tout dans mon chantier
Tu conduis toute ma vie avec justice
Tu me débarrasse de mes caprices
Tu relève tous mes défis
Tu es toute ma vie.
BBC
Si j’avais une lampe
J’éclairerais cette tulipe
Rage qui campe
Sur ta belle tempe.
Je mettrai sa chaleur
Quelque soit l’heure
Pour réchauffer cette fleure
Qui sourit sur ton cœur.
J’approcherai sa douce flamme
Près de cette dame
Dont la robe sans âme
Multiplie ton charme.
Si c’était celle d’Aladin
Mon seul dessin
Serait de mettre ce matin
Toutes les fleurs dans tes mains.
Christian Ben BOULBA
Au nom de l'amour,
Je t'aimerai à Chaque Instant
Malgré le temps Souvent
Trop court.
Au nom de l'amour,
Je suivrai toujours tes traces
Meme si la glace efface
Parfois La Grâce du jour.
Au nom de l'Amour,
J'éteindrai en cendre
Les jours trop lourds,
Pour en teindre des plus tendres.
Au nom de l'Amour,
Mon amour, jour après jour
Je t'aimerai de tout mon Cœur
Pour le pire et le meilleur.
Poème de Christian Ben Boulba
27 Octobre 2009 à 8h30
Des mots pleins
De tendresse ont
Emportés ce matin
Toute ma raison !
Trois petits mots
Simples et légers
Comme un tricot
Pendant l’été…
Ils ont surpris
Mon cœur en sursis
Comme un missile
Assomme une ville.
Des mots charmants
Qu’on sème !
Pour dire simplement,
Je t’aime !
Christian BEN BOULBA
Un peu de temps encore
Et la haine ne sera plus
Car l’amour sera connu.
Du sud au nord,
Et l’injustice s’écroulera
Car la justice coulera
Comme un torrent intarissable.
Les eaux seront potables,
Les oiseaux en toutes saisons…
Un peu de temps seulement
Et l’humble sera content
De voir le méchant ôté
Et de croire à la vérité.
Après demain
Le soleil du matin
Brillera jusqu’au soir
Les rayons pleins d’espoir…
Christian BEN BOULBA
Ma petite sœur.
Ma jolie petite fleur.
Avec ses yeux bruns,
Son joli teint
Et sa peau claire.
Semblable à une lumière,
Elle était mince et longiligne,
Un peu blonde mais brune.
Elle parlait comme une actrice
Et n'avait rien de factice.
Elle me parlait des croisières,
De voyages à la vitesse de la lumière
Et de faire un jour le tour du monde.
J’aimais sa tête un peu ronde
Elle était plus belle que la Joconde.
Elle aimait être en jean.
Jamais dedans,
Toujours dehors
A raison ou à tort...
Même quand il faisait froid
Saisie de joie ou d'émoi...
C’était ma peine,
Ma veine,
Ma reine…
Elle charmait plus d’un
Faisait de joie à chacun.
Elle marchait comme Picasso
Elle aimait danser les slows.
Ma frangine de dix-sept-an
Qu'a emporté le vent...
C’était mon cœur
Le reflet de ma lueur...
Christian BEN BOULBA