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gloire soit rendu au seigneur
Par Anonyme, le 07.10.2025
effectivement, on ne se moque pas de dieu... et ces personnes l'ont appris à leur dépend.
ceci dit, certains
Par Anonyme, le 21.05.2023
nul ne comparable à lui il a accepté de donner sa vie en fin que nous puissions dominer l'ennemi qui est le di
Par Anonyme, le 10.08.2021
le nom de jésus christ est le plus grand nom, le plus puissant et rien n'es comparé à celà
Par Anonyme, le 13.07.2021
je christ est roi et il règne dans les cieux et sur la terre au siècle des siècles ... amen !!!
Par Anonyme, le 09.04.2020
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Date de création : 26.10.2009
Dernière mise à jour :
26.11.2018
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LE BUT DU MARIAGE
Théologiquement le but du mariage institué par Dieu dans le Jardin d’Eden avant l’intronisation du péché prend une forme quadruple*.
Primo, la procréation de la race humaine suivant la recommandation divine dans Genèse 1.27-28. Cette recommandation quoi que male comprise à nos jours reste et demeure légale pour toute race humaine. Adopter une position contraire est tout à fait justifiable suivant les diverses raisons qu’on peut avancer mais en faire une doctrine pour empêcher les hommes de procréer est une aberration et une déviation par apport à la volonté de Dieu.
Secundo, l’unité des conjoints qui sont appelés à se respecter mutuellement, à se compléter et à s’entraider ! Quand nous disons unité, nous ne disons pas uniformité. Mettons-nous bien d’accord sur ce point. Il est étonnant de voir qu’encore et encore les chrétiens confondent la notion de l’unité et de l’uniformité. Nous en reparlerons.
Tertio, la collaboration nécessaire à l’homme, qui est par essence un être social. En effet, Adam était un demi-homme heureux, comblé mais incomplet dans sa nature. Et Dieu dit : « Il n’est pas bon que l’homme soit seul ; je lui ferai une aide semblable à lui Genèse 2.18. » C’est ainsi qu’Eve fut créée pour qu’ensemble ils puissent former une seule chair et qu’on ne parle en le voyant que d’une seule personne. Une seule personne mais les deux formants un tout dans une harmonie parfaite ou la femme complète l’homme et l’homme tire sa raison d’être de la femme pour la chérir, la rendre heureuse pour toute la vie. Cependant, Eve reste distincte d’Adam et vice-versa.
Quarto, la sanctification comme symbole de sainteté pour protéger le lien conjugal qui peut se rompre par l’infidélité ou autres pratiques du genre. Ainsi les chrétiens sont invités à veiller quotidiennement sur leurs mariages pour que l’ennemi Satan ne sépare pas ce que Dieu a unit.
En résumé, parler mariage c’est parler unité ou la femme est distincte de l’homme mais les deux appelés à vivre en harmonie pour tisser ensemble à l’aide des fils solides une union qui doit durer jusqu’à la mort.
Nous avons été naïfs de croire lors de notre conversion que le mariage chrétien était facile est que jamais les problèmes ne surviendront. Eh bien, c’est beaucoup plus difficile encore que s’il s’agisse d’un mariage païen ! Et le paradoxe ce que, le mariage chrétien demeure toujours meilleure que le mariage des païens. Quant un couple païen se converti, il est contant de revivre une nouvelle vie sous des nouveaux cieux. Tout devient subitement nouveau. Adieu l’infidélité, adieu les injures, adieu l’égoïsme, adieu le fétichisme. On construit sur des nouvelles bases et on pénètre les profondeurs de Dieu en apportant à Christ tous les problèmes non encore résolus du passé. Que tout devient merveilleux ! L’homme apprend à chérir sa femme en place et lieu de la vexer en méprisant sa personne et la femme apprend à se soumettre sans contrainte. En effet si « l’obéissance », Bibliquement signifie « soumission », il s’agit premièrement de la soumission à la Parole de Dieu qui est la base même de Christianisme. L’amour entre l’homme et la femme ne se trouve pas par hasard, il se construit*.
A l’âge d’environ seize ans, Shuggart, une jeune fille de notre église me fit comprendre pour elle l’importance d’un mariage dans la vie d’un être humain surtout si ce dernier envisage avoir des enfants où si carrément les a-t-il déjà hors ou dans le mariage. Les divorces des certains parents pèsent sur les épaules des enfants qui sont principalement les premières victimes de la séparation. Les grossesses hors mariage sont aussi par la même occasion la cause des nombreux cœurs blessés qui sont ceux des enfants innocents qui n’ont pas demandé à naître.
Pour revenir à Shuggart, elle est née hors mariage et n’a jamais connu son père. Nous avons parlé longtemps avec elle mais, je ne saurai pas d’emblée vous donner le résultat de notre apport dans sa vie. Nous avons réceptionné ses propos lors de notre dernier entretien avec elle et nous vous proposons de l’écouter sans commentaire aucun.
Shuggart
J’ai entendu parler d’amour. Je m’en moque et je ne sais pas pourquoi faut-il que nous aimions ceux qui nous ont détestés alors que nous ne leurs avons jamais rien demandé. L’amour ? Je déteste en attendre parler. Ma vie est une histoire et mon avenir une devinette. J’ai dix sept ans et c’est à cet âge que j’ai le plus besoin de l’amour de mes parents. Mais pour moi c’est la condamnation à vie. J’ai hérité de ma mère sa taille et de mon père sa laideur. Je me hais, je m’en veux, j’en veux à mon père d’avoir connu ma mère et de m’avoir fait exister. Il a condamné ma vie pour toujours à un sort ignoble et m épris able. J’ai vécu dans une petite famille modeste où celle que j’appelais maman était affectueuse et son mari magnanime. En effet, pour moi c’était papa et maman. Seule, une jeune dame me visitait régulièrement et on m’avait laissé entendre que c’était l’une de mes tantes. C’était drôle mais tout de même, enfant que j’étais, je l’aimais bien et j’appréciais sa façon obstinée de me cajoler en m’apportant des friandises. Voici qu’un beau jour…, je n’oublierai jamais ce jour-là, elle venait d’échanger une longue dispute avec mes parents et, l minute qui suivait, j’entendis mes parents dire :
- Prends ta fille et vas avec elle !
Ta fille ? Pourtant je ne l’avais jamais vu avec un enfant. Cœur de grâce, cœur d’enfant, je ne pouvais pas redouter ce qu’il allait suivre. Je la vis venir me prendre brusquement sur la main gauche me demandant de partir avec elle.
- Mais tante, fis-je, je ne veux pas partir avec toi. Je reste ici avec mes parents.
A ma plus grande surprise, elle avait éclaté en sanglot. La scène était tellement réelle que jusqu’à présent j’arrive à distinguer l’expression amère qui se peignait sur son visage. Elle semblait malheureuse, déprimée, délaissée, abandonnée… L’espace d’une seconde, elle avait puisé dans tout son être le courage qui lui restait pour me dire :
- C’est moi ta mère. Eux, je… C'est ta tante et son mari.
- Mais m’man !
- C’est vrai ma fille. Crois-tu que je m’amuserai avec des sujets aussi délicats pour te tromper ? Pourquoi m’ont-ils dit : Prends ta fille et par avec elle ?
C’est alors que je me rendis compte de la gravité de la situation. A mon tour, j’ouvris les vannes et mes larmes se déversèrent sur mes joues creuses. Nous nous embrassâmes avec ma mère en livrant un concert macabre des mécréantes. Un concert sans admirateurs à l’exception de mes ex-parents qui, par leur attitude semblaient regretter leurs propos de tout à l’heure.
Nous partîmes je ne sais plus où jusqu’au jour où je me remis un peu de ma crise d’enfant. J’avais sept ans. Avec des mots entrecoupés, de façon un peu plus maladroite, ma mère me fit entendre la plus sale des toutes les histoires du monde que je n’aurais jamais imaginé en être la victime principale. En effet, après un coup de foudre, ma mère s’était amourachée d’un jeune homme du quartier qui lui faisait la cour après la sortie d’école lui promettant le mariage dans le plus bref délai. Mais voici qu’un jour chez le jeune homme, elle se vit forcer à livrer son corps comme preuve d’amour et, sans crier garde, elle tomba enceinte trompée par ses périodes menstruelles. Le pire, elle se vit abandonner, délaissée à son triste sort. Le jeune ne cessait de répéter :
- ce n’est pas ma grossesse. Ça ne peut pas l’être. Je n’ai jamais connu cette fille. Ni de jour, ni de la nuit. Cette une menteuse, une pute, une sorcière.
Et lui-même un véritable sorcier ! Pourquoi une telle cruauté ? Ma mère n’avait point connu d’homme avant lui et ça, à croire ma mère, il le savait bien. J’ai entendu dire que quant un homme connaît une jeune fille, il peut savoir par l’étroitesse du passage si cette fille est vierge ou pas.
Ma mère était trompée, dupée naïve qu’elle était. C’était ainsi que sa grande sœur consentit de m’adopter vit qu’elle était encore très jeune et sans expérience aucune sur les enfants. C’est ça mon histoire, c’est ça mon cauchemar. L’amour, je ne veux pas en attendre parler. Où est l’amour ? C’est quoi l’amour sinon représentant de la haine ! Qu’avais-je fais au bon Dieu pour ne pas naître dans une famille ou les parents sont mariés ? Et mon père ? Que lui avais-je fais pour me renier ? Je suis venu au monde pour assouvir son plaisir et après quoi il m’a renié. Je le déteste. Je le hais. Je ne lui pardonnerai jamais une telle offense.
Je suis chrétienne mais je ne le suis pas devenu pour pardonner à mon père. En me lisant, n’essayait pas de m’en dissuader. Je parlais, reparlais plus des dizaines de fois avec l’auteur de ce livre mais il n’a pas su me convaincre du contraire. Je crois en Dieu mais je refuse de pardonner. Mon père doit payer ! Je ne sais comment mais il finira par payer. C’est comme ça et cela n’est pas de ma faute. Je ne peux rien y changer et vous non plus. Alors laissez-moi me venger. Tant que je vivrai, je trouverai toujours l’occasion de faire entendre raison à qui de droit. Que vous le vouliez ou non !
Merci !
Les enfants ont droit d’avoir une famille. De vivre avec et à côté de leurs parents. Peu importe l’âge, une fois qu’on a fait un enfant, on est devenu parent et responsable à tout jamais. Le mariage est une vie de couple. C’est dans cette vie que les partenaires sont appelés si consentement il y a, à fonder une famille. Si par malheur vous avez eu des enfants hors mariage, selon les mesures du possible, vous pouvez chercher à faire la paix et régulariser votre compte afin de former une famille pour garantir la sécurité de l’enfant.
C’est par amour platonique que certaines grossesses sont conjuguées. La Bible dit que l’homme quittera son père et sa mère et s’attachera à sa femme. Et les deux deviendront une seule chair. Pour nous chrétiens, nous savons que forniquer avec un partenaire c’est s’allier par une alliance établie du mariage qui fait que deux personnes qui couchent ensemble deviennent une seule chair. Et par obéissance à la parole de Dieu, si vous êtes malgré vous surpris par une grossesse, prenez vos responsabilités et mariez-vous.
Si toutes les personnes qui contractent des grossesses hors mariage devenaient un peu plus conscientes de ce que la Bible enseigne, nous n’aurons pas dans notre société des enfants appelés communément « Fazeurs » et qui, une partie d’entre eux sont nés hors mariage.
Le mariage pour nous chrétiens est une alliance à vie qui ne peut être renouvelée qu’après la mort d’un de partenaires. Vous cherchez peut-être la différence entre ces deux mots vous demandant où je veux finalement en venir, pas vrai ! Vous n’avez pas tort ! Vous souvenez-vous de l’alliance que Dieu avait établie avec son peuple en Israël ? … Malgré l’abondance du péché de ce peuple, l’alliance de Dieu demeurait mais la punition divine s’abattait régulièrement sur ce peuple afin de le ramener sur le droit chemin. Jusqu’à nos jours, l’abolition de cette alliance n’a jamais eu lieu c’est pour cela que nous sommes devenus à notre tour Israël spirituel. Si vous êtes à mesure de comprendre cette vérité concernant l’alliance, vous vous donnerez à fond pour dénicher une solution afin de consolider votre vie de couple.
L’amour est comme un œuf dans le poignet de main. Il est à protéger. Un mariage sans amour est un mariage manqué. J’ai aimé une pensée qui définie l’amour comme un principe et non comme un sentiment, … Il pénètre plus loin que l’émotion, doit être durable, doit résister à l’envahissement de la vie quotidienne, ne doit point s’user au contact des années - au contraire il doit grandir, – se renouveler chaque jour s’il le faut.
Le mariage apporte le bonheur mais, d’aucun dirons le contraire. Sans outrecuidance, nous n’oserons pas dire qu’ils aient complètement tort. Il n’y a cependant visiblement aucune différence entre le mariage des chrétiens et celui des païens. Les chrétiens ainsi que les païens rencontrent les mêmes genres de problèmes dans leur vie de couple. Les païens par contre peuvent divorcer. Les chrétiens se trouvent condamnés à vivre ensemble jusqu’à ce que la mort les sépare et cela à cause de la foi qu’ils ont placée en Dieu.
La famille est la pièce maîtresse pour la réussite d’une nation, d’une société, d’une église. La famille par excellence est la famille chrétienne. La crainte de l’éternel et l’observation de sa parole fait de la famille chrétienne une famille stable et solide. Qu’il vente ou qu’il pleuve, la paix règne ! En mettant la crainte de Jésus-Christ à la base de la vie de famille, l’évangile fait de la vie de famille : le triomphe de la foi chrétienne (Ephésiens 5).
Un jeune homme annonce à ses amis :
- Je veux me marier, j’en ai marre du célibat !
Ces amis éclatent de rire en disant :
- Tu vas te mettre la corde au cou. N’y vas pas !
Si le mariage est une pendaison pour vous, vous n’avez pas encore compris ce qu’est la vie chrétienne. Le mariage chrétien est différent de tout autre mariage qui puisse exister. Mon intention n’est pas de vous contraindre à croire que tout va comme sur des roulettes dans le mariage où d’épuiser les causes directes ou indirectes qui font que vous n’apprécier pas le mariage. Je remplis mon devoir en écrivant ce que l’Esprit de Dieu me met à cœur et, je suis bien aise de ne pas aller plus loin que m’arrêter sur les points essentiels. N’allez pas chercher réponses à toutes les questions qui vous préoccupent. Contentez-vous d’apprendre, de découvrir une ou deux choses…
Notez que le mariage institué en Eden avant l’intrusion du péché a avant tout existé dans la pensée de Dieu étant le but suprême d’octroyer le bonheur idéal à l’homme. C’est pourquoi Dieu dit : « Il n’est pas bon que l’homme soit seul. » Pour que ce bonheur se concrétise, la femme fut créée et placée à côté de l’homme pour le combler et qu’ensemble, ils partagent le parfait bonheur. Mais à cause du péché, le mariage est devenu amer à cause de l’égoïsme naturel de l’homme qui vise ses intérêts, étant donné qu’il a perdu la semence de la perfection.
Par Christ, le vrai mariage peut se vivre par des chrétiens avérés grâce à l’onction divine qui restaure en eux la semence incorruptible de la perfection perdue par Adam et Eve. Vous pouvez croire au vrai mariage avec la femme ou l’homme de votre vie et vous devriez vous préparer à vivre ce mariage dans un monde où le péché n’est pas encore ôté. Attention ! C’est pour cette raison que nous disons : « Tout peut arriver même dans un mariage où l’homme et la femme sont nés de nouveau. Le vrai mariage est celui où l’homme et la femme se supportent mutuellement en quête d’une paix durable en pardonnant son conjoint quand bien même il ne s’est pas fait excuser. C’est à ce mariage que vous devriez aspirer. C’est de ce mariage dont vous avez besoin. »
N’a-t-on pas entendu dire : « Nous allons vivre ensemble pour bien nous connaître, et nous verrons après s’il faut nous marier ou pas. » C’est ça qui est véritablement se mettre la corde au cou. Le mariage par essai. J’en parle parce que j’ai vu les chrétiens l’adopté. Les vrais chrétiens authentiques n’aspirent pas au mariage par cette méthode. C’est marier pour la vie est un risque à courir.
Votre conception du bonheur peut être erronée. Le bonheur c’est aussi quand on peut vivre le meilleur et le pire ensemble. Malheureusement quand le pire arrive, un grand nombre des mariés commencent à croire qu’on vit loin du bonheur. Le bonheur pour vous peut être d’avoir quelqu’un à vos cotés le jour où l’âge avancé, vous êtes frappé de la cécité et vous n’arriver plus à vous déplacer sans une main de secours. Le bonheur pour moi peut être d’avoir quelqu’un avec qui partager la parole de Dieu dans la disette comme dans l’abondance jusqu’à ce que la mort nous surprenne. Tolérer le pire, ne pas simplement se contenter du meilleur, accepter le bonheur dans le meilleure et le pire.
Aimer sa femme, ce n’est pas simplement la préférer à toute autre personne existante, c’est seulement la préférer à toi-même. L’aimer c’est savoir que vous ne pouvez faire votre propre bonheur qu’en la rendant heureuse.
Une vie de couple est un processus de découverte du conjoint qui tend vers l’infini. Ce désir absolu de l’aimer même quand il perd un œil, de le chérir quand il a tort… Cette impression que, dans ses défauts, il y a toujours quelque chose de positif que vous apprécier ! Cette capacité de couvrir ses défauts par vos qualités et de combler ses qualités les vôtres. C’est ça l’amour. Le mariage est une vie de couple. En explorant cette vie, vous remarquerez qu’il y a toujours de nouvelles profondeurs à découvrir chez votre partenaire, de nouvelles montagnes à escalader dans les richesses infinies de son cœur, de nouvelles cimes à gravir dans les hauteurs de sa personne, et surtout ce refus de le voir malheureux, ce besoin de ne vivre que pour lui et de ne mourir que si sa vie en dépendait. C’est ça qui donne à une vie de couple le bonheur car le bonheur n’est jamais donné le jour des noces… Il est à chercher, A conquérir !
Les réalités souvent cruelles du mariage fait que malgré la foi, bon nombre des mariés chrétiens commencent à souhaiter la mort d’un de partenaires. On en a marre. On ne supporte plus son partenaire. Une fois son souhait exaucé, bon débarras ! On se marie le jour suivant.
Si vous aspirez au mariage vous célibataire ordinaire ou célibataire endurcis, sachez que la meilleure façon d’exprimer un sentiment noble pour se marier est de vouloir se marier par amour pour son partenaire.
La comédie a assez durée ! Le mariage chrétien est sacré, dans le bonheur comme dans le malheur. Christ est le seul à dire un dernier mot et cela, si et seulement si on lui donne toute la place. Là où vos forces s’arrentent commence celle de Christ. Il est capable de renouer les liens brisés du mariage, de réparer les brèches où s’infiltre l’ennemi et de réconcilier l’homme et la femme de façon miraculeuse.
* Voir aussi le Nouveau Dictionnaire Biblique d’Emmaüs.